Cette exposition a pour objectif de présenter une panoplie d'instruments musicaux et paramusicaux utilisés  dans le Nord de l'Europe. Des documents iconographiques (photos, cahiers de chansons, cahiers de musiciens, affiches,...) complètent la présentation.  Un catalogue explicatif est mis à disposition du public.

Le nombre de pièces exposées varie en fonction des acquisitions et  de l'espace disponible.  L'exposition peut être créée "à façon" en fonction des demandes des organisateurs.

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Cette exposition se décline sous diverses formes.  Initialement intitulée "L'épinette en Wallonie et alentour", elle peut mettre l'accent sur une région particulière (Flandre, Nord, Vosges, Hongrie, Wallonie) ou une époque (les instruments du début du vingtième siècle ou encore les instruments du revival folk des années 70),...

Le nombre d'épinettes présentées (de 60 à 120) varie en fonction du thème et de l'espace disponible.  Une série de documents iconographiques complète la présentation.  Les instruments sont tous étiquetés (origine, époque, fabricant, lieu de collecte). A la demande, l'exposition est commentée, animée, agrémentée d'un concert de vernissage, d'ateliers découverte, de stages de construction d'épinettes.

Les cordes frottées sont multiples et parfois bien éloignées de "l'archétype violon".  Cette exposition présente  une cinquantaine de violons d'un peu partout, des instruments venant d'Asie, d'Afrique, des violons européens de facture populaire ou savante hors normes,...  Ici aussi, divers documents iconographiques complètent la présentation.

L'exposition "Cordes rares" présente une soixantaine d'instruments (violons de facture populaire, instruments asiatiques, africains, guitare romantique, bumbass, épinettes, mandolines de facture populaire, dulcimers, violons régionaux
(Pologne, Bulgarie, Turquie, Yougoslavie, etc), percussions à cordes, cithares des Alpes, banjo mandoline, banjolélé, etc ).

Chaque instrument est accompagné d'une fiche organologique et de documents iconographiques.

Cette exposition ne vise pas l'exhaustivité mais simplement à montrer la grande diversité des cordophones. Comme il est frustrant pour le public de ne pas manipuler les objets, je mets à sa disposition une structure sonore simple à faire sonner (pluriarc sur socle, archets de crin, archets crantés, baguettes de frappe).

 A une époque, quand les rues n'étaient pas encore encombrées par le flux incessant des automobiles, elles  résonnaient des cris des marchands ambulants et des sérénades des marchands de chansons.  Ces derniers chantaient les refrains à la mode ou les textes d'actualité. Les chanteurs, seuls ou accompagnés par un ou plusieurs musiciens vendaient aux chalands les textes imprimés de leurs scies.

J'ai rassemblé un grand nombre de ces feuilles volantes, elles couvrent tous les évènements connus au cours des deux premiers tiers du 20ème siècle.  J'en ai sélectionné  un certain nombre que je propose de découvrir dans l'exposition  "la chanson qui court les rues".

Sur le riche sujet des chanteurs-marchands de chansons, j'ai coécrit avec Francis Groff et Willy Pourcel, l'ouvrage L''orchestre des courants d'air" paru aux Editions de l'Université Ouverte CFWB en avril 2019.

Depuis toujours les chansonniers ont rimé l'actualité, qu'elle soit locale ou pas.  L'exposition "Chansons de labeur" a pour but de faire connaître la vie des classes populaires telle que l'on observée les rimeurs.  Leur production a été imprimée et diffusée.  L'exposition rassemble un nombre important de documents originaux ou des agrandissements facilitant la lecture, présentés sous verre.  Le nombre de documents varie en fonction du lieu et des acquisitions.

Au début du 20 ème siècle, un musicien de bal auvergnat, joueur de cabrette, rencontre un accordéoniste italien.  Ils vont créer un genre musical nouveau, le bal musette (bal à la musette) où apaches et bourgeois encanaillés fouleront les mêmes parquets.  Partitions illustrées et photos anciennes, 78 tours pour un voyage à remonter le temps.